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Sortie en fin d’année 2014, Asus a renouvelé sa gamme de tablettes MemoPad avec la Memo Pad 7. Il s’agit d’une tablette de 7 pouces bon marché (moins de 200 euros) dont le but affiché est de remplacer éventuellement une vieillissante Nexus 7. Une bonne affaire cette Memo Pad 7 ? Oui, assurément, comme nous le verrons dans son test.

La fiche technique de la Memo Pad 7 est très équilibrée et affiche des composants de bonne qualité. À commencer par l’écran, qui se permet d’être en Full HD, une caractéristique plutôt rare sur des produits à moins de 200 euros. Asus, comme de plus en plus de constructeurs en 2015, n’a pas opté pour Qualcomm ou Mediatek, mais bien pour Intel avec un processeur Intel Atom Z3560 basé sur une architecture 64 bits (Atom Moorefield). En d’autres termes, cette tablette est déjà prête à recevoir et à exploiter correctement Lollipop. Enfin, on trouve 2 Go de RAM, 16 Go d’espace de stockage (extensible par une carte SD) et deux appareils photo assez moyens. Dernier bon point, la capacité de la batterie est proche des 4000 mAh, ce qui est excellent compte tenu de la taille de l’appareil.

On pourrait décrire la Memo Pad 7 en un mot : Nexus 7 2013. Si le design n’est pas exactement identique, la Memo Pad 7 reprend toutefois ses dimensions. Comptez 20 cm de long sur 11,4 de large, une prise en main identique et des boutons situés au même endroit (en haut de la tranche droite). Ce n’est peut-être pas la tablette la plus originale que l’on ait pu prendre en main durant ces derniers mois, mais elle ne perd pas son utilisateur. Dans les petites différences, en façade tout du moins, on notera que les coins sont moins arrondis que sur la Nexus 7. Les bordures d’écrans, en termes de largeur, que ce soit sur les côtés gauche ou droit ou haut ou bas sont sensiblement identiques à celles de la Nexus 7.

L’arrière n’a en revanche pas grand-chose à voir avec l’ancienne tablette de Google. Asus a intégré une coque en plastique brillant qui ne recouvre pas l’intégralité de l’arrière de la tablette. Et le moins qu’on puisse dire c’est que l’ensemble rend très bien. Cette coque donne un aspect couverture de livre du plus bel effet. D’autant plus qu’elle ne prend pas les traces de doigts et s’avère très agréable au toucher.

Sur le bas de la tablette on retrouve un port micro USB 2.0 ainsi que l’un des deux haut-parleurs stéréo, l’autre se trouvant au sommet de l’appareil, à côté du port jack. Le côté gauche quant à lui accueille un port carte micro-SD, sans trappe. J’espère pour vous qu’il n’y a pas trop de poussière dans votre maison ou que vous ne comptez pas emporter la tablette dans un sac rempli de saletés, sous peine de voir ce port se remplir très facilement. C’est toutefois l’un des rares points faibles de design de la tablette. Malgré l’omniprésence du plastique, les finitions sont aux rendez-vous et la Memo Pad 7 respire la solidité. Pour une tablette à moins de 200 euros, c’est vraiment très bien.

Dans les bons points de cette tablette se trouve également l’écran. C’est un écran Full HD (1920 x 1200 pixels) sur une dalle IPS. Les angles de vision sont sans défauts et particulièrement généreux. L’écran se montre également très lumineux. Les couleurs sont excellentes, même si les esprits chagrins aux yeux de lynx remarqueront que les blancs ont tendance à tirer très légèrement sur le jaune. Le plus beau dans tout cela, c’est qu’Asus a pensé à ces mêmes esprits chagrins en intégrant d’office à la tablette une application intitulée Splendid. Elle permet de régler la température des couleurs, mais aussi de foncer ou d’éclaircir les teintes et de saturer l’image. Les jauges sont très larges, il faut donc manier les taquets avec précaution pour parvenir à un résultat agréable. Une option qu’on aimerait voir plus souvent.

Comme pour la majorité de ses appareils sortis en 2014, la Memo Pad 7 est installée sous Android KitKat en version 4.4.2 avec la surcouche ZenUI. Nous avons déjà longuement abordé le cas de ZenUI lors du test du Zenfone 5 sorti en novembre dernier. Pour faire simple, la MemoPad 7 reprend les principaux points de l’interface du téléphone d’Asus, mais avec quelques applications en moins.

Dans le détail, ZenUI est une surcouche graphique très colorée, que cela concerne la barre de notification, le menu des paramètres ou la liste complète des applications installées sur le téléphone. Tirer la barre de notifications sur la partie gauche de la tablette affiche les notifications tandis que la tirer sur la partie droite affiche un menu des raccourcis.

Dans l’ensemble, ZenUI se montre pratique au quotidien. Il est possible de personnaliser les menus des raccourcis de la barre de notifications, les menus des paramètres sont clairs et sans chichi et le menu des applications propose quelques options bien pratiques, comme la possibilité de verrouiller certaines applications, de créer des dossiers ou tout simplement de rechercher une application. ZenUI se montre également très fluide et dispose de petites animations qui ne gâchent en rien l’ensemble.

On le disait un peu plus haut, Asus a mis un peu moins d’application sur sa tablette que sur son Zenfone 5. On retrouve donc un gestionnaire de fichiers, un agenda, une application de liste de tâches, une autre pour prendre des notes, une application d’économie d’énergie (on y revient plus bas), une application pour afficher le contenu de la tablette sur un écran tiers via un câble USB et un dictionnaire anglais, entre autres. Une bonne partie de ces applications ne serviront jamais à l’utilisateur moyen et à ce titre, Asus aurait pu alléger un peu le nombre d’applications préinstallées. Libre à l’utilisateur de les enlever du launcher, mais il est impossible de les désinstaller. Asus n’a toutefois pas intégré PC Link, une application présente sur le ZenFone 5 qui permettait de prendre le contrôle de la tablette depuis un PC. Un détail.


Asus nous a malheureusement prêté une tablette de test avec une version d’Android qui refuse d’installer des applications de benchmark “pour des raisons de confidentialité”. Et c’est vraiment dommage puisqu’on ne pourra jamais savoir ce que vaut réellement le SoC atypique de cette tablette par rapport aux autres tablettes de la fin de l’année 2014.

Rappelons que la Asus Memo Pad 7 dispose d’un processeur Intel Atom Z3560, basé sur une toute nouvelle architecture : Moorefield. Sur le papier, cette puce est capable de miracles. Elle est gravée en 22 nm (au lieu de 32 nm, comme sur les puces basées sur une architecture Clovertrail) ce qui est censé réduire sa consommation. Cette même puce est basée sur une architecture 64 bits, contient quatre cœurs cadencés à 1,8 GHz et dispose du même GPU que l’iPad Air : le PowerVR G6430. Intel promettait d’ailleurs de grandes performances à cette puce.

C’est donc vraiment dommage que nous ne puissions pas la confronter à la concurrence avec les benchmarks traditionnels (AnTuTu, PC Mark, 3D Mark ou encore GFX Bench étaient inaccessible). Nous avons toutefois réussi à installer Epic Citadel, qui a affiché une très belle moyenne de 61 FPS. La tablette fait également très bien tourner Hearthstone, un jeu plutôt gourmand. On notera toutefois quelques ralentissements au moment de poser les cartes sur le plateau ou lorsque l’un des joueurs lance un sort. Il faut également dire qu’il existe actuellement peu de tablettes sur lesquelles Hearthstone tourne correctement.

Là encore, il y a peu de choses à redire concernant l’aspect multimédia de cette tablette. Il existe de nombreuses applications pré-installées pour profiter de la tablette. Asus a ainsi intégré des applications pour modifier couleurs de l’écran mais aussi une autre pour modifier les effets sonores en fonction de l’utilisation.

Le point le plus embêtant de l’aspect multimédia de cette tablette concerne toutefois le positionnement des haut-parleurs sur la tablette. Ces derniers sont positionnés sur le côté haut et bas de l’appareil, exactement là où l’on pose ses mains pour la prendre, que ce soit pour jouer ou regarder un film. Ce qui bouche le son des haut-parleurs, par ailleurs très bons et puissants..


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L’Asus Memo Pad 7 est équipée d’une grosse batterie de 3950 mAh, ce qui est équivalent à ce que l’on trouve sur la Nexus 7. Son autonomie est toutefois très satisfaisante, surtout lors d’une utilisation quotidienne (navigation sur Internet, lecture de quelques vidéos sur YouTube, consultation de ses emails), où elle est capable de tenir au moins deux jours sans avoir besoin d’être rechargée. Je serai en tout cas un peu plus perplexe lors de l’utilisation de jeux gourmands, comme HearthStone par exemple, à la batterie a chuté de plus de 10 % après un petit quart d’heure d’utilisation. Après une heure de vidéo en HD avec le son au maximum sur Youtube, la tablette a perdu 6 %. C’est tout simplement excellent.

Asus a également pensé à intégrer une application d’économie d’énergie. Celle-ci permet d’activer une fonction de “smart saving” afin, au choix, d’économiser la batterie au maximum en coupant toute connexion à Internet, soit de passer sur un profil “optimisé” aux implications mystérieuses et non explicitées, soit de personnaliser directement son mode d’économie d’énergie et de demande à l’application de baisser la luminosité de l’écran lors d’utilisation d’applications particulières. Après quelques jours d’utilisation, il faut bien reconnaître que l’application d’Asus s’avère performante. À condition de ne pas jouer à des titres gourmands, la tablette perd très peu de points de batterie lorsqu’on la laisse en veille. Un bonheur.

Avec 269 g, l’Asus MeMO Pad 7 est actuellement la tablette 7 pouces la plus légère (*). Et même si ce n’est pas tout à fait la plus fine, on a presque l’impression de tenir en main une simple liseuse. Le design épuré donne dans la simplicité et le plastique, sans pour autant donner une impression de fragilité. Le dos alvéolé est plutôt confortable pour les doigts. Les bords sont très larges sur les petits côtés de l’écran, ce qui est pratique pour tenir la tablette en mode paysage, sans risquer de toucher l’écran. A l’inverse, les bords étroits sur les grands côtés facilitent la prise à une main en mode portrait.

La réactivité de l’Asus MeMo Pad 7 confirme les excellents résultats du test de performances Antutu. Nous n’avons en effet constaté aucun ralentissement ni latence lors de l’utilisation de la tablette, que ce soit au niveau du système ou des applications, excepté lors de chargement de pages Web assez lourdes, comme l’accueil du site Eurosport. Et encore, la MeMo Pad 7 s’en est mieux sorti que la plupart des tablettes.


La fluidité des animations 3D est quant à elle exceptionnelle, confirmant ainsi le test de la 3D par Antutu.

La résolution de 1920 x 1200 pixels est très largement suffisante pour un écran de 7 pouces. Nous avons toutefois noté un léger manque de contraste, synonyme de noirs qui ne le sont pas tout à fait. Nous n’aurions sans doute pas fait cette remarque si nous n’avions pas récemment testé la Galaxy Tab S 10.5, dont l’écran en technologie Amoled fournit des noirs très profonds.

Les deux haut-parleurs sont situés sur les petits côtés. Ce choix, rare sur les tablettes 7 pouces, est pourtant le meilleur car il permet d’obtenir un bon effet stéréo lorsqu’on regarde un film en mode paysage. Il reste que la qualité de ces transducteurs sonores n’est pas meilleure que sur les autres tablettes et l’on préférera connecter des écouteurs ou un casque.

La webcam frontale s’en sort mieux que la majorité des capteurs équipant les tablettes. Ce n’est pas tant la résolution (2 Mpixels) que le piqué qui se révèle au-dessus de la moyenne. L’APN arrière n’excède pas 5 Mpixels mais compte-tenu des optiques équipant les tablettes, c’est largement suffisant. En faible luminosité, les deux capteurs vidéo ne font pas de miracle, surtout celui de la webcam.

Notre test de transfert d’un fichier de 700 Mo nous a permis de mesurer une vitesse de 28 Mo/s qui, sans être exceptionnelle, est parmi les plus élevées (le record est à 32 Mo/s). Ce port est de type USB Host (ou OTG). Nous l’avons vérifié en connectant un clavier USB standard, qui a immédiatement été reconnu en mode AZERTY, sans aucune phase de paramétrage. Petit regret : le connecteur microSD n’est pas protégé par un cache.

Sur le secteur des tablettes 7 pouces à 200 euros, les Google Nexus 7 et Tegra Note 7 sont restées longtemps au top de notre comparatif. Cette nouvelle tablette Asus MeMo Pad 7, lancée très récemment lors de l’IFA de Berlin, devrait changer la donne. Nous l’avons testé.


Côté design, cette tablette renouvelle un peu le genre, c’est toujours une audace que l’on salue. Surtout qu’Asus ne s’est pas planté : la tablette est, certes, entièrement en plastique, mais son revêtement arrière est agréable, insensible aux traces de doigts, avec des rebords arrondis sur la longueur, et de très jolies finitions dans l’ensemble. Seul petit bémol, pas vraiment gênant : les quatre coins de l’ardoise sont un peu trop saillants à notre goût.


Premier détail frappant : l’écran 7 pouces IPS de la tablette, au format 16:10, affiche une définition de 1920 x 1200 pixels. C’est en fait l’écran de la Nexus 7 (logique, Asus était le concepteur de cette tablette Google), et sa qualité d’affichage est presque parfaite : les couleurs sont fidèles, la luminosité maximale et le contraste excellent (541 cd/m², 1259:1). Le logiciel de réglage Splendid d’Asus permet un réglage à votre convenance (régler la température des couleurs à « +7 » donne ainsi la possibilité de baisser la température vers le 6700°K et d’améliorer le gamma vers 2,2).


La surcouche ZenUI d’Asus, nous la connaissons bien puisque nous l’avons utilisée longuement avec le smartphone Zenfone de la marque. Cette interface est très complète, conviviale, fluide et réactive. Toutes les bonnes astuces ergonomiques des grands fabricants (LG, Samsung notamment) y sont présentes. Un vrai plaisir. Sur la MeMo Pad 7, ZenUI intègre même un mode de partage d’écran en multitâche (2 applications visibles à la fois). Très simple d’emploi et très pratique, même si la fluidité de l’interface en pâtit un peu.


Il nous a été impossible d’installer sur cette tablette les logiciels de tests de performances que nous utilisons habituellement sous Android. Du coup, difficile d’évaluer précisément les capacités de son processeur Intel Atom Z3560 et de son circuit graphique PowerVR G6430. Seul Basemark X fonctionnait : 18 398 points, un score très honorable, équivalent à celui d’une Tegra Note 7, selon le classement officiel du logiciel de test. L’application Epic Citadel s’est stabilisée autour de 47 images par secondes, un score moyen, mais loin d’être catastrophique, et sans surchauffe. En pratique, la tablette est rapide, notamment grâce à ses 2 Go de mémoire vive, et le jeu GTA Vice City tourne très bien avec tous les détails au maximum.


C’est surtout l’autonomie de cette tablette qui nous a bluffés : 15 heures 27 minutes en navigation web légère, et 11 heures 21 en lecture vidéo, c’est excellent ! La tablette a même résisté 8 heures 37 minutes dans notre futur test d’autonomie beaucoup plus sévère en termes d’utilisation processeur, c’est plus que l’iPad Mini Retina d’Apple (7 heures 49 minutes) !


La sonorisation de la MeMo Pad 7 est assurée par deux haut-parleurs situés à gauche et droite de l’écran, du son stéréo de bonne qualité, bien ample. Seul problème, les joueurs auront tendance à mettre les mains sur ces haut-parleurs, bloquant leur acoustique. En photo et en vidéo, si l’application d’Asus (une partie de ZenUI) est très pratique et agréable, le capteur 5 mégapixels ne fait pas de miracle. Les images prises restent correctes, la vidéo est fluide, mais manque un peu de détails et souffre d’un fort « jelly effect » lors des travelings (effets de déformations).


Bref, cette tablette vient se classer très logiquement en troisième place de notre comparatif de tablettes petit format. Elle surpasse la Nexus 7 de Google, avec une autonomie légèrement supérieure et une mémoire extensible. A 199 euros la version 16 Go et 249 euros la version 4G, chapeau bas !

Simple, bien construite et bien équipée même si elle n’est pas parfaite, la dernière née des tablettes 7 pouces d’Asus est, autant vous le dire tout de suite, un vrai coup de coeur.


Il faut bien sur être d’accord avec le format, avec les 7 pouces de diagonale de l’engin. Il s’agit ici d’une tablette personnelle destinée à monsieur et madame tout le monde, une proposition parfaitement taillée pour un usage complet d’Android : Du jeu au surf en passant par l’énorme catalogue du Google Play, la Asus MeMO PAD 7 ME572C est une surdouée sans véritable fausse note. Ce n’est pas vraiment une tablette familiale, son format est plus destiné à accompagner un utilisateur unique qu’une petite famille, même si il est bien sur possible de la prêter.

Bizarrement, Asus m’a envoyé la moins jolie des ME572C, la version 100% ABS noir. Elle existe pourtant avec des finitions dorée ou rouge qui sont plus esthétiques sous l’objectif d’un appareil photo. A 199€, on peut d’ailleurs s’attendre à un engin plutôt entrée de gamme mais la 7 pouces surprend dès l’ouverture de la boîte, avant même cette ouverture à vrai dire, dès la prise en main de la boite.

Coincé au plus juste dans la coque en carton épais de son emballage, la tablette attend son heure et son propriétaire. Ce dernier aura probablement choisi l’engin en connaissance de cause mais pas forcément grâce aux efforts de la marque.


Asus a en eu effet la très mauvaise idée de baptiser la machine de la même manière que la précédente génération. Ce nom à rallonge d’Asus MeMO Pad 7 est juste suivi par une appellation codée totalement ésotérique, un détail qui ne fera jamais écho chez un particulier.

En bas à droite de la boite, ce nom de code ME572C ne brille pas par une présence très marquée. Le problème étant qu’un acheteur en vadrouille dans les rayons d’un supermarché, quelqu’un à qui on a conseillé l’engin avec l’appellation générique de la machine, pourra très bien déballer le précédent modèle et se rendre compte bien tard de ce qu’il a acheté.

La tablette est associée au strict minimum d’accessoires utiles. Ne cherchez pas de casque audio ou de chiffonnette pour nettoyer votre écran. Sous la tablette vous trouverez uniquement la documentation succincte de l’appareil, un chargeur et un câble USB.


Estampillé Asus, le petit chargeur est compact et bien construit. Il ne chauffe pas et délivre un courant stable de 1.35 ampère et 5.2 volts. De quoi recharger rapidement la solution, et suffisamment discret pour se balader avec vous.

Par contre le câble fourni est trop juste, 80 cm de longueur c’est trop peu pour faire le voyage d’une prise murale ou d’une multiprise au bureau d’un utilisateur. Le résultat est toujours le même, la tablette se retrouve posée un peu n’importe où, là où le câble la mène. Un simple passage à 1.2 mètre résoudrait le problème pour quelques centimes de plus… Dommage.

Vient ensuite le morceau de choix, la tablette en elle même. La construction de l’objet est d’une sobriété classique assez bien trouvée. Ce dos légèrement texturé avec une légère bande lisse sur une de ses largeur rappelle un peu un travail de maroquinerie ou un format livre très long. Bémol notable la tablette se ternit assez vite de multiples traces de doigts, sur son dos mat comme sur sa surface capacitive. Si le verre se nettoie facilement, le dos est autrement plus compliqué à ravoir.

Le design de la MeMO PAD 7 précédente est loin, très loin des efforts faits par la marque pour ce nouveau modèle. Ici tout est plus juste, plus net et les angles comme les arrondis se répondent assez intelligemment. Le résultat est là, la tablette se démarque dans la sobriété tout en offre une grande facilité de prise en main.


Je ne sais pas ce qui motive la présence ce ce long bord lisse sur son dos. Peut être est-ce pour éviter les éventuels problèmes de bouclier posés par les coques aux ondes Wifi, GPS et Bluetooth. Cette tablette a-t-elle hérité d’un design précautionneux à ce sujet ? Une autre théorie explique peut être ce choix, celle d’un parti pris très marqué de la part d’Asus au sujet de sa prise en main.

La ME572C fait partie des tablettes que je qualifie de: « à sens unique « . Il est bien entendu possible de la manipuler dans n’importe quel sens et le gyroscope intégré dans l’engin redressera aussitôt l’écran pour qu’il s’affiche face à vous. Mais une série d’éléments font qu’il est peu pratique, voire désagréable, de saisir la tablette dans 2 sens sur 4.


Énormément d’indices le rappellent à l’utilisateur avant même qu’il ne l’allume. Ce logo Asus par exemple commence par dicter un sens de lecture qui correspond au sens de tenue de l’engin en format paysage.

Autres points clés, les caméras qui sont situées dans des angles et non pas au centre de la surface en largeur. Cela implique de fait qu’aucune photo ne pourra être prise avec la caméra dorsale lorsque la tablette tombera sous vos mains et donc quand vous tiendrez l’appareil avec le logo à l’envers.

La caméra interne et le capteur de luminosité embarqué posent le même souci pour la vidéo conférence : Le placement est tel que positionner la Asus avec la caméra vers le bas rendra l’usage de l’engin désagréable du fait des constants changements de luminosité de l’écran quand vous ferez de l’ombre à ce capteur.

Du coup, le changement de texture créé par la bande lisse au dos de la machine aide l’utilisateur à saisir correctement la tablette et à sentir, dés sa prise en main, le bon placement du produit. Le coup de main est vite pris, en quelques jours on sort instinctivement la tablette pour la positionner automatiquement camera en haut et logo lisible.

Autre détail qui tombe sous le sens, le positionnement choisi par Asus pour son bouton de démarrage. En mode portrait, si vous tenez la tablette de la main gauche pour manipuler l’écran de l’index de la main droite dans le mauvais sens, ce bouton s’écrasera contre votre paume et se déclenchera intempestivement. Dans l’autre sens par contre il glissera naturellement sous votre index pour une manipulation plus aisée : Une main pour tenir et activer, l’autre pour pianoter l’écran. Les boutons de volume situés juste au dessus demandent un peu de grand écart mais rien de problématique en portrait comme en paysage.

De l’autre côté de la coque on trouve le lecteur de cartes MicroSD de l’engin. Ce dernier accepte les cartes 64 Go sans problèmes, ce qui permet d’étendre facilement le stockage de base de 16 Go de la tablette. Un élément important, puisqu’à l’allumage la Me572C ne laisse que 11.6 Go d’espace libre à l’utilisateur sur les 16 Go embarqués.

Le reste de la connectique est très habituel : Un port MicroUSB situé en bas de la tablette en mode portrait, une prise casque 3.5 mm en haut et c’est tout.

Ce positionnement et cette connectique assez faible ne choquent pas, même si on aurait pu espérer la présence d’un simple petit port HDMI de dépannage pour aider la tablette dans certaines tâches que les liaisons sans fil ne maîtrisent pas.

Ces choix et les efforts cosmétiques consentis offrent à l’engin un aspect réussi et très séduisant. Un aspect qui est d’ailleurs confirmé par la vision côté face de l’engin. Asus sort en effet du chapeau de son bureau de design quelques petits tours de passe-passe pour intégrer son écran à la coque.


Le premier est cette rupture entre la dalle en elle même et la coque. Alors que l’écran est entouré de bordures arrondies dans un léger décalage en relief, la coque est construite dans un design en angles droits.

Le résultat de cette intégration sert à réduire artificiellement les bordures de l’écran : On ne mesure de l’oeil qu’ à partir de la surface de verre en oubliant les quelques millimètres de largeur du plastique. Avec une intégration plus classique l’aspect de la tablette aurait été plus massif, moins léger et agréable.

Le résultat est sans appel, la tablette apparaît comme très fine et légère et on oublie quasiment les bordures latérales pour se concentrer sur la partie écran. Et quel écran !


L’affichage de cette ME72C est parmi les meilleures 7 pouces que j’ai pu prendre en main. Riche, détaillé, contrasté, propre en couleurs et en nuances, il reflète ce qu’il se fait de mieux dans le genre à tout point de vue.

La densité de pixels ne laisse pas de place aux effets d’escalier et tous les éléments affichés sont nets, efficaces et sans bavures. Du détail d’une icône à l’écran à la boucle d’une voyelle de texte, tout est ici parfaitement défini. Le mode lecture proposé qui ternit légèrement le blanc en un jaune moins violent permet de retrouver un texte d’une propreté étonnante.


Asus joue également sur la richesse de son contraste à plus d’un niveau : L’exemplaire de ma tablette ne souffrant d’aucune fuite de lumière, les 7 pouces sont parfaitement encadrés par l’image choisie comme fond d’écran. Et lorsque la tablette affiche du noir, il est aussi profond que celui de la bordure physique de la dalle : Le jeu de nuances qui s’affiche alors marie le virtuel de ce qui est affiché au réel de l’objet sans que l’on saisisse réellement où commence le premier et où s’arrête le second.

Le rendu à l’écran est exemplaire et avec un tout petit peu de recul, il est vraiment étonnant de voir l’évolution du marché sur cette gamme de produits en si peu de temps. Les 7 pouces moyennes gammes passées n’arrivent pas à la cheville de cette tablette pourtant sous les 200€. La raison de cet écart s’explique facilement, Asus emploie ici le même écran que sur la Nexus 7 2014. Un écran déjà amorti donc et qu’Asus a du acheter en masse à bon prix pour assembler la tablette de Google. Résultat des courses, la marque profite d’un écran haut de gamme qu’il peut intégrer dans sa tablette moyenne gamme.

Avec ces angles larges et des couleurs qui ne se délavent qu’aux extrêmes limites de l’affichage, la tablette devient rapidement un excellent allié de lecture vidéo.

Il manque certes le confort de la béquille d’une Lenovo Yoga mais la qualité de l’écran et la légèreté de l’engin associé à un bon rendu stéréo font de la tablette un bon allié sur ce point.


Le format 7 pouces oblige évidemment à des concessions sur la qualité du rendu sonore. Difficile de placer les enceintes en façade et le choix de les positionner sur les côtés de l’engin, au centre présente un inconvénient majeur. Si on tient fortement la tablette en main, on écrase les enceintes dans sa paume et empêche le son de circuler. Il faut veiller à laisser un espace entre la tablette et la main et alors profiter d’une légère amplification crée par le creux de la main qui fait écho. Au casque, par exemple dans les transports, la ME572C se comporte tout à fait honorablement et permet de suivre un film ou d’écouter un album sans soucis.

Pour le jeu, le rendu de l’écran apporte le même confort qu’en vidéo et rend la tablette parfaite pour cet usage. Sa prise en main, son poids léger et son gabarit de poche en font une solution de jeu parfaite et au rendu très efficace.


La solution processeur retenue est excellente en calcul comme en 3D. Ce n’est pas la tablette la plus efficace en jeu du marché, elle se situe en deçà d’une Nvidia Shield Tablet par exemple, mais elle est capable d’affronter l’ensemble des titres actuels sans broncher. Intel a intégré dans son Atom 64 bits quatre coeurs à 1.83 GHz qui offrent une performance réellement impressionnante en terme de calcul. Les applications lourdes s’ouvrent vite, les opérations compliquées s’opèrent de façon presque transparente, la machine à beaucoup de réserves sur ce poste.

La 3D se comporte également de manière très satisfaisante grâce à une subtile implantation d’Intel . Pour ce processeur Atom, le fondeur a misé sur un circuit construit par un tiers. La marque a fait appel à Imagination Technologies et à son processeur graphique PowerVR G6430.

Le résultat est bluffant. La performance de l’Atom en calcul associé au PowerVR font de l’ensemble une solution robuste et sans tâches sur des titres récents et demandant de la fluidité et de l’efficacité. On retrouve un niveau de détails élevé et des effets bien maîtrisés malgré la haute définition de l’affichage.


En 2D, la machine se débrouille également très correctement, même en poussant l’engin dans des retranchements importants en activant le système de multiples écrans ou en ouvrant de nombreux onglets en parallèle d’autres applications gourmandes en ressources.

Pour le surf, la MeMO PAD ME572C est un véritable allié : Rapide et efficace, elle ne tombe pas dans les limbes d’un calcul qui parait s’éterniser entre 2 onglets. La tablette sait rester réactive malgré des exigences parfois importante de l’utilisateur. Et cela sans pour autant gâcher l’expérience par une autonomie trop juste. Le Surf, wifi activé dépasse allègrement les 14 heures d’utilisation. Evidemment ce ne sera pas 14 heures de vidéo en streaming mais plutôt un usage mixte du web.


En vidéo pure, en mixant des films à la suite en 720p, l’engin atteint presque 11 bonnes heures d’autonomie. Ce qui, là encore, est un très joli score. Evidemment, la tablette est prévue pour lire du 1080p avec son écran de définition FullHD mais passer à ce format sabre sensiblement les performances de la batterie : On reste alors cantonné sous les 8 heures d’utilisation.


En jeu, c’est un peu le même combat, à trop solliciter la tablette la batterie fond vite, 7H10 en jeu 3D continu. C’est un bon score malgré tout même si on gagne à jouer par intermittence, la tablette offrira plus d’autonomie si on fait des parties de 20 à 30 minutes espacée d’un peu de repos entre chaque. Dans ce type d’usage la tablette offre une bonne heure de robustesse supplémentaire.

Parfaite alors la M572C ? Non, il ya des points sur lesquels Asus n’a pas fait de gros efforts à commencer par les capteurs photo embarqués. En frontal c’est un 2 mégapixel classique, un peu brouillon dans les détails qui ne s’embarrasse pas de contrastes très fins mais c’est malheureusement souvent le cas pour l’ensemble des machines de ce marché.


Mais au dos, le capteur de 5 mégapixels aurait gagné à être un tout petit peu plus sensible, plus efficace dans ses rendus de lumières et de couleurs. En l’état il s’agit uniquement d’un capteur technique, un outil destiné à garder une trace d’un événement ou d’un objet. Absolument pas la solution destinée à saisir une belle photo.


Les conditions pour obtenir une belle photo extérieure sont quasiment impossible à tenir : le capteur est un poil trop lent pour saisir un sourire, un beau soleil donnera des détails mangés par une lumière trop violente et les couleurs semblent souvent passées au travers d’un filtre savonneux. C’est maigre et cela manque de vitamines.


Bien sur, il sera possible de faire les 3 photos extérieures nécessaires à un constat d’accident, de photographier une idée cadeau à travers une vitrine à envoyer à quelqu’un pour son avis, ou même de garder une trace d’un événement. Mais dans tous ces cas, ce sera parce que la tablette sera la seule option sous la main.


Par contre, l’engin est tout à fait à son aise lorsqu’il s’agit de prendre un élément d’un oeil technique ou informatif : Carte de visite, document, livres, petits objets ou compositions. Dans des conditions de pose optimale, avec un peu de temps et la possibilité de soumettre l’objet à photographier au bon éclairage.

La tablette se comporte parfaitement bien et propose des clichés exploitables. Possible, par exemple, de photographier rapidement 15 ou 20 doubles pages d’un livre de bibliothèque, une page de journal ou tout autre document, et de les lire directement sur l’appareil. C’est là la vraie vocation de ce capteur 5 mégapixels qui n’a pas prétention à remplacer un appareil photo-numérique ou un capteur de smartphone plus polyvalent. L’intérêt ici est de pouvoir lire sur l’écran ce qui a été photographié avec la tablette, pas de faire de la photo au même titre qu’un appareil dédié.

Le WiFi embarqué est un classique 802.11 b/g/n. Classique car il ne se démarque en rien de ce qu’offre n’importe quelle autre tablette du marché aujourd’hui. La technologie est désormais bien maîtrisée, et la tablette offre à la fois de bons débits et une stabilité remarquable. Le tout en fait une solution capable de charger un gros fichier sans planter quand on change de pièce. C’est également un outil qui met à jour rapidement ses applications sans les pénibles erreurs provoquées par des signaux récalcitrants.

La tablette s’illustre également tout à fait correctement en streaming avec une prise en charge rapide des vidéos et un début de lecture quasi instantané même en haute définition. Que ce soit depuis un NAS local ou depuis une source en ligne comme Youtube ou Google Film, la prise en charge est excellente. Avec une application comme FreeBox Compagnon, la tablette devient un vrai petit poste de télé HD.


Le GPS se comporte comme tous les GPS du genre, peu rapide à froid, la tablette n’affiche des satellite qu’après 1 minute 30 de recherche mais ensuite la reprise est quasi instantanée. Les satellites détectés ensuite sont toujours nombreux et le positionnement plutôt fiable. Bien sur, sans fonction 3G l’usage dépend d’un modem de smartphone via Bluetooth, ce qui ne rend pas le GPS d’une très grande utilité.

Android est ici livré dans une version KitKat 4.4.2 surmonté d’une couche livrée par Asus. L’interface ZenUI est plutôt légère, peu invasive et propose surtout pléthore de fonctions utiles par rapport àa l’interface de base.

Disponible sur la gamme de smartphones Zenfone d’Asus, ZenUI est devenu assez bien huilé pour proposer plus qu’un Android KitKat de base sans entraver la bonne marche de la machine. Loin des surcouches dérangeantes ou qui grèvent les performances de l’engin, elle reste toujours fluide, réactive et apporte un peu plus de souplesse à l’ensemble.

Le simple partage d’écran pour afficher 2 applications est un vrai outil pratique à l’usage même sur une 7 pouces. Mixer web et prise de notes sans jongler entre les applications, informations et calculatrice, ou continuer à suivre une vidéo en lisant ses emails… Des détails qui ne se maîtrisent que si la surcouche est bien pensée et qu’elle ne gène pas trop les performances de l’engin. Sur cette ME572C, c’est vraiment un plaisir à exploiter même si il ne fut pas espérer pouvoir exploiter 2 application gourmandes en parallèle.


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Gestion de profils, passage en mode lecture, amélioration de l’autonomie et raccourcis habituels, tout s’obtient au travers d’une interface accessible d’un geste et ne nécessite pas de multiples précautions pour s’activer : De larges boutons que l’on ne manque pas et qui ne se chevauchent pas non plus. On peut piloter cela en marchant sans risquer de se tromper en cliquant à côté.

Le clavier est plus problématique avec des clés petites ne laissant que peu d’espace à la partie affichage, le problème se règle en faisant un tour sur le Google Play où il est possible de trouver des alternatives plus efficaces et gratuites. La frappe à 2 pouces reste bien entendu la solution la plus efficace sur ce genre de diagonale.


Design et connectique : Asus force l’utilisateur à une prise en main particulière. L’engin à bel et bien un sens d’utilisation ce qui est assez déroutant de prime abord mais tout à fait pertinent à l’usage. En positionnant les capteurs et les boutons dans un sens, on perd le côté 360° habituel d’une tablette mais on gagne réellement en ergonomie. Un mal pour un bien donc. Point de vue connecteurs, si l’engin aurait évidemment gagné a être livré avec un port HDMI, il bénéficie d’un lecteur de carte MicroSDXC bienvenu pour étendre ses capacités.


Affichage : L’écran 7 pouces 1920 x 1200 est la pièce maîtresse de cette tablette, un écran haut de gamme dans une tablette à un prix abordable qui rend la ME572C particulièrement attirante. Un bon deal pour l’utilisateur qui retrouve non seulement un écran fin et bien équilibré mais également des angles larges et une belle luminosité.


Performances : Rapide et agréable de nervosité, la puce Intel/Imagination Technologies offre un bon équilibre sans être la puce la plus rapide du moment. Les capacités de calcul aident Android dans ses tâches habituelles tandis que la puce graphique PowerVR se montre performante pour un affichage 2D ou 3D efficace. Un bon compromis.


Audio : Au casque, la tablette se défend correctement, avec ses enceintes stéréo on retrouve le souci provoqué par le format 7 pouces : La stéréo est faible et il faudra évidemment positionner ses mains de façon à ne pas étouffer ses enceintes; en condition optimale, la MeMO PAD se comporte de manière tout à fait classique avec un manque de basses évident et des mediums souvent très appauvris. Il n’y pas de miracle possible sur ce genre de format.


Wi-Fi et Réseaux : Un Wi-Fi 802.11 b/g/n fiable et stable, la solution classique sur une tablette de ce genre. A noter, toutefois, qu’elle est fort peu gourmande en batterie, ce qui permt un usage au long cours de sa connexion. Le Bluetooth 4.0 se comporte très bien et permet d’exploiter un casque audio à ce format sans soucis, peut être la meilleure solution pour compenser les enceintes de la machine pour regarder un film dans les transports. Le GPS est parfaitement fonctionnel mais manque d’intérêt sans réseau 3G.


Webcams et senseurs : Le Gyroscope est rapide et la tablette réagit promptement, c’est assez peu utile sur ce modèle précis qui ne souffre que de 2 positions dans l’espace au lieu des 4 logiquement proposées par le format mais c’est tout de même utile. Le capteur de luminosité est, quant à lui, un petit monstre de réactivité faisant de la tablette, malgré son écran brillant, un engin relativement exploitable en extérieur. Les webcams ne sont pas formidables, Asus n’a pas cherché à proposer un appareil très bien pourvu de ce côté, mais la 5 mégapixels est suffisante pour un usage technique de la photo.


L’Asus MeMO PAD 7 ME572C est une excellente tablette au vu du tarif demandé. Bien construite et efficace, elle offre une expérience tout à fait positive aussi bien d’Android que des fonctions annexes proposées. Elle n’est parfaite que sur un seul point, son écran qui est vraiment une réussite sur ce modèle. Mais contrairement à beaucoup de concurrentes sur cette gamme de prix, aucun élément ne vient la trahir. Si des choix ont été clairement mis de côté par Asus comme la partie webcam, cela a été fait clairement volontairement pour maintenir le prix sous la barre des 200€.


Excellente tablette personnelle, légère et peu encombrante, elle est conçue pour vous offrir un usage au quotidien des fonctionnalités d’Android et vous connecter à vos services numériques rapidement et efficacement. Tant pour le jeu que la vidéo, lire ses mails ou parcourir un livre numérique, cette solution se tire brillamment de tous les pièges tendus aux tablettes situées dans cette gamme de prix.


Un excellent achat donc pour un engin qui ne souffre pas de véritable défaut et qui peut être aussi bien une première tablette qu’une solution de remplacement efficace et économique d’une machine vieillissante.

Message déposé le 08.03.2015 à 09:27 - Commentaires (0)




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